La lune était bien haute cette nuit là. Histali était fatiguée, je le sentais. Je la gratouilla longuement au bord de l'une des source d'eau pure qui sommeillaient en ces lieux. Je revenais de Muü, la longue nuit que j'avais passé c'était avérée compliqué. Je soupira longuement en repensant aux fantômes dépités de mes défunts parents. Histali se mise alors à grogner sauvagement. Je me dressa rapidement sur mes jambes. Les cheveux volèrent dans le vent tout comme la robe marron que j'avais revêtis. J'indique un lieu caché à Histali pour qu'elle puisse se réfugier. Je brandis mon arc, insérant une flèche à la pointe grise aiguisé. Les trois plume permettant la vitesse de ma flèche était en plume d'oie. Le ciel reliant les deux extrémités était une fine branche de chêne. Ue traversa le lac, jonglant entre petit tronc d'arbre et gros trond. Je bondissais agilement sur chaque prise au sol qui existait. Au bout de quelques instants je distingua du bruit. Des ronflements plus exactement. Une immense grotte trônait au milieu des différentes sources d'eau et des différents lac.Des lierres bloquait l'entrée. Je les écarta d'un coup de main, mon arc toujours prêt à toute éventualité. Dans l'obscurité de la grotte je ne discerna pas tout de suite la jeune fée et sa jument. Je ressortais de la grotte, n'ayant rien vu. Je saisi deux branches à l'extérieur de la grotte, les frottant vivement jusqu'à obtenir une petite flamme. Je pris une épaisse branche de bois dont je fis brûler l'extrémité puis je pénétra une seconde fois dans la grotte et certe fois ci je vis les deux corps gisant sur le sol. Seul le mouvement régulier de leurs cages thoracique s'élevant et se rabaissant put me permettre de comprendre qu'ils étaient en vie. Je me rapprocha alors es deux corps endormis. Je commença à toussoter, sentant une odeur étouffante. Je remarqua alors que la torche que j'eus utilisé pour m'éclairer était en train de brûler les feuilles habillant les parois. Paniquée je pris le corps de la jeune fille sur les épaules et je la traîna à l'extérieur. Puis je couru vers la jument. Je lui gifla les fesses ce qui la réveilla. Je tira sur des reines pour la faire sortir. Je lis la jeune fille sur le dos de la jument puis je la traîne vers la cachette ou j'avais réfugié ma louve. Je finis par retourné la bas une dernière fois, récupérant les deux bols et la couverture intacte ainsi que l'arnachement de la ponette. Je traîna le tout à l'extérieure, regagnant la cachette d'Histali. La jeune fille dormait toujours. Je l'installe au creux des arbres veillant sur elle jusqu'à son réveil.