D.c - Lenwë

NOM (facultatif): ici

PRENOM:  Lenwë

SEXE: Féminin

ORIENTATION SEXUELLE: Bi

ÂGE: 169 ans

RACE: âme

CASTE: Religieuse

COMPAGNON DE ROUTE:  Serpent nommé Maär (vous le décrirez plus dans la catégorie journal>compagnons de route).

ARME & OBJETS: Livre religieux, bâton de prière, poignard.

QUÊTE PERSONNELLE: Défendre les valeurs des Dieux de la Forêt, initier les gens à sa religion (vous la décrirez plus dans la catégorie quêtes et missions).

RUNE & POUVOIR: Sagesse. Elle a le pouvoir de contrôler un animal, quel qu'il soit. N'a cependant aucun contrôle sur les créatures et les créatures mineures.

PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Commission: Tanwen Draigmerch by Shilesque

Tout commença loin d'ici, loin de notre forêt bien aimée qu'est la forêt des Chênes Pleureurs. Dans un tourbillon de sable et de soleil, une petite fille naquit, de deux âmes solitaires qui avaient fuis leur patrie, il y a de cela des centaines et des centaines d'années, alors que Elaria Shaär était au début de son vénérable règne.
Lenwë était belle, la peau dorée des Sables d'Akarah, elle ressemblait à Urielle, sa mère.
Au départ, ils vivaient tous trois dans les grand canyon du désert, loin de tous et de toutes, à la merci des Dieux qui auraient pu les voir et les tuer tant de fois.
Très vite, la jeune âme grandit et avec elle, grandit une passion folle qu'elle n'osait dire à ses parents.
Car, parfois, lorsqu'elle montait sur la dune la plus haute, elle pouvait les apercevoir. Ils semblaient si petits, mais leur couleur était si belle !
Lenwë rêvait de voir la forêt, de la sentir sous ses doigts, de la toucher, de s'en imprégner.
Car, pour elle, c'était de là que venaient les Dieux, c'était eux qu'il fallait vénerer.
Mais cela, elle n'osa en parler à sa mère qui pensait que la forêt n'était que traîtresse et impitoyable, après tout, avait elle tort ? Ne les avait elle pas chassés de son grand manteau de verdure et de vent.
Mais cela n'empêcha pas à Lenwë d'avoir ce rêve.
Les jours passaient, sans qu'elle ne puisse s'approcher des arbres lointains et un beau jour de printemps, la jeune fille vit un voyageur, venant du nord.
Lenwë ne pu s'empêcher de sourire et elle courut à sa rencontre, sous le regard méfiant de ses parents.
Cependant, ceux-ci finirent par l'accepter une nuit dans leur tente, afin qu'il continue sa route le lendemain, rassasié et reposé.
Ce soir là, le voyageur raconta son histoire.

-Je viens de Neii-Shaär, là bas, tout est calme et paix mais cependant, la reine Elaria m'a envoyé trouver des roses des sables pour soigner son neveu souffrant.
J'ai parcouru Moëra du Nord vers le Sud, et je me suis rendu compte de l'attrocité de nos terres. C'est l'anarchie et dans l'ombre, des assassins se préparaient déjà à tuer la reine.
C'est au cours du voyage que j'ai reçu un message de la colombe personnelle de la reine.
Celle-ci était morte, assassinée et sa fille déjà presque couronnée pour prendre sa suite.
Mais je ne me détachai pas pour autant de ma tâche. J'avais promis à la reine de trouver cette rose. C'est pour cela que je suis ici.

Le lendemain, le père de Lenwë emmena le voyageur dans les dunes pour lui trouver ce qu'il cherchait. Ils revinrent dès midi, tenant une sacoche remplie de roses des sables. C'est là que le voyageur proposa à la petite âme de venir avec lui.
Il lui dit qu'il avait parlé avec Abram, son père et qu'il avait trouvé en elle une jeune fille capable de grandes choses pour servir la reine.
La mère eu plus de mal à accepter, réticents à l'idée que leur petite fille adorée irait dans cette forêt maudite.
Cependant, Lenwë finit par partir, sous le regard triste de sa famille. Après un dernier regard vers le sud, les deux voyageurs partirent en direction du nord.
Les jours passaient et la jeune fille en resta émerveillée lorsqu'il parvinrent enfin à l'orée des bois.
C'est en rentrant dans la forêt profonde qu'elle sentit cette énergie, cette force incroyable qui émanait des arbres. Elle comprit alors qu'elle avait raison depuis le début.
C'était des Dieux, bien plus puissants que le vent, bien plus beaux que le sable et Lenwë comprit que c'était ici qu'elle voulait vivre.
Ils parcoururent Moëra et finirent par arriver à la forêt des Chênes Pleureurs.
C'est ici que tout changea.
Le voyageur, Serym, qui l'accompagnait se fit blesser par un hippogriffe acharné et il mourrut quelques heures après.
Après avoir creusé une tombe pour son ami, Lenwë se décida.
Elle n'avait aucune envie de se rendre à la capitale et encore moins de retourner chez elle.
Aujourd'hui, Lenwë fait partie des notres. Elle vit avec nous, les fées, dans les arbres et elle nous a apprit à prier et à vénérer les arbres comme il se doit.
Elle vit avec nous, dans notre vénérable forêt qu'est la forêt des Chênes Pleureurs.


Lenwë est très belle. Ses cheveux noirs et torsadés descendent et se faufilent le long de son magnifique visage aux traits fins. Ses yeux noirs de jais, tels que la roche volcanique son dessinés à merveille et son regard pénétrant vous font tomber sous son charme irrésistible. Son petit nez descend jusqu'à sa bouche légèrement pulpeuse et rose. Son cou fin, sa poitrine généreuse et ses hanches bien dessinées lui donnent un corps de déesse.
Sa peau légèrement dorée rappellent ses origines, ainsi que ses habits cachant uniquement ses parties intimes.
Lenwë porte une multitude de bijoux, un diadème, des colliers et des bracelets, objets de valeurs que lui ont offert ses proches, ou des souvenirs lointains de ses parents.


Lenwë aurait pu être naïve et innocente si elle n'était pas partie avec le voyageur. Elle aurait aussi pu devenir impitoyable et coléreuse, mais ce n'est pas la cas ici.
Non, Lenwë est de nature incroyablement calme et réflechie. Elle aime réfléchir avant d'agir et ne se contente jamais d'une seule solution. Elle ne se met jamais en colère ni ne pleure jamais. En vérité, Lenwë a un caractère presque parfais.
En revanche, elle rit beaucoup et sourit pour un rien. Elle aime la joie et la bonne humeur.
Son seul gros défaut est sa jalousie constante pour de nombreuses personnes. Elle ne peut s'empêcher de vouloir être autrement, ou d'avoir quelque chose que quelqu'un d'autre détient et qu'elle n'a pas. Lenwë se vexe aussi assez facilement et il lui arrive d'aller bouder au pied d'un chêne en attendant que quelqu'un vienne la consoler.
Enfin, Lenwë est très croyante en les Dieux de la forêt mais elle n'est pas fanatique même si jamais elle ne trahirait la forêt.

PSEUDO:ici

DC ? SI OUI DE QUI ?: D'Armanth, la fonda

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